Play Bac

Cet article présentera le groupe Play Bac en général, et plus particulièrement la partie Presse de l’entreprise, dans laquelle j’ai eu le plaisir de faire mon stage de 3ème en Novembre 2015.

Play Bac, donc, est une entreprise fondée en 1985, dans un train de la SNCF, par François Dufour, Jérome Saltet, et Gaëtan Burrus. Ces derniers créeront un jeu la même année, qui deviendra plus tard « Les Incollables », et obtiendra plusieurs prix, dont celui du Salon du Jouet en 1987.  En 1994, Play Bac lance Mon Quotidien, qui atteindra progressivement les 50 000 abonnés, puis L’Actu, et enfin Le Petit Quotidien, qui dépassera même Mon Quotidien en terme de vente. Aujourd’hui, le chiffre d’affaire du Groupe Play Bac dépasse les 9 millions d’euros, et on compte, par exemple, 150 000 abonnés à L’Actu.

Play Bac est divisé en deux groupes :

-Editions Play Bac : ce groupe comprend deux sous-parties : les Editions et Play Bac éditions spéciales.

La première possède un rôle particulier : elles comprennent le développement Web de Play Bac (un site par journal), la fabrication des Incollables, point important puisque celles-ci génèrent une grande partie du bénéfice de l’entreprise. Notons qu’elles sont vendues non seulement en France, mais aussi à l’étranger, où elles rencontrent un franc succès ces dernières années. Enfin, les Editions prennent en charge plusieurs projets indépendants, souvent externes à l’entreprise : un écrivain par exemple, peut proposer un manuscrit d’une nouvelle, qui sera examiné, retravaillé, corrigé, et enfin adapté en ouvrage : en effet, Play Bac a conclu un partenariat avec Hatier en 1990, qui a également contribué au succès international des Incollables.

La seconde partie, les Editions spéciales, réalise principalement les journaux consacrés à un thème particulier, comme  au moment des tristes attentats de Paris en Novembre 2015 : les abonnés reçoivent alors des quotidiens traitant exclusivement de ce thème. Elle fabrique aussi les magazines associés aux quotidiens, qui traitent d’une thématique générale – pas forcément d’actualité. Enfin, elles régissent le service communication de Play Bac, ainsi que les commandes faites à l’entreprise, destinées aux familles, enfants, et même enseignants.

-Play Bac Presse : c’est le groupe le plus éminent de l’entreprise, il comprend l’essentiel des salariés, environ une cinquantaine, répartis sur une quinzaine de métiers, de la conception graphique à la rédaction en chef, en passant par les comptables et pigistes. Ce groupe publie également l’intégralité des journaux de Play bac (trois quotidiens et un hebdomadaire). On y trouve aussi un pôle accueillant les petites entreprises qui ne disposeraient pas encore de locaux pour travailler.

L’ Épreuve

Deuxième série dans cette catégorie, avec la trilogie L’ Épreuve de James Dashner. On s’attaque tout de suite au premier livre :

Note du livre : 18/20

Auteur :  James Dashner ( Origine : USA )

Collection : Pocket Jeunesse

Prix du livre : 18 euros 50 centimes ( grand format )

Sortie : Octobre 2012

Adapté au cinéma : Oui ( Twentieth Century Fox )

Best-seller : Oui

L’ épreuve, Tome 1, Le Labyrinthe

Mon résumé du livre

Lorsque Thomas arrive dans le Labyrinthe, il ne se souvient plus de rien…sauf de son prénom ! Celui-ci va devenir le personnage principal, que l’on retrouvera dans toute la trilogie sauf dans le prequel, où il n’apparaît que dans le prologue et l’épilogue. Celui-ci est d’un tempérament plutôt calme, mais décidé, et courageux. En arrivant dans le Labyrinthe, il découvre nombre d’adolescents de son âge – tous des garçons – en train de le dévisager, si l’on peut s’exprimer ainsi. En effet, les nouveaux arrivants sont peu fréquents dans le Labyrinthe (environ 1 par mois), et doivent souvent fournir des efforts d’intégration conséquents. Par la suite, Thomas va apprendre à connaître les principaux personnages, ceux qui « dirigent » la communauté établie depuis plusieurs années dans le Labyrinthe : celle-ci est devenue une véritable société organisée au fil du temps, notamment grâce à la présence de cadres ayant le sens de l’organisation et du commandement, tels que Alby, Newt, Minho, qui sont appelés les « matons », en raison de leur importance au sein du groupe.

Chaque personne possède une responsabilité au sein du groupe en fonction de ses aptitudes. Alby est le chef des coureurs, un travail réservé aux plus endurants. Thomas, ne connaissant pas précisément ses aptitudes, est tout de suite attiré par cette fonction.

Prequel : Oeuvre qui précède, dans la chronologie, une série déjà existante, et qui explique les événements l’ayant précédée.

Time Riders

On commence avec la série Time Riders :

 

Note du livre : 16/20

Auteur : Alex Scarrow ( Origine : GB )

Collection : Pocket Jeunesse, Nathan

Prix du livre : 15 euros 90 centimes ( grand format )

Sortie : Janvier  2012

Points de ventes : En ligne (Fnac.com par exemple ) , ou dans les librairies, quoique plus rare.

TIME RIDERS, Tome I

Mon résumé

Ils sont trois à êtres sauvés lors de la dernière seconde de leurs existence par un homme mystérieux :

  • Liam O’ Connor, Irlandais originaire de Cork, steward sur le Titanic en 1912, âgé de 16 ans ;

-Madelaine, « Maddy » Carter, 18 ans, professionnelle en informatique, Américaine originaire de New York, vivant en 2010. ;

-Saleena « Sal » Vikram, 13 ans, Indienne originaire de Mumbai, experte en jeux d’observations, vivant en 2026.

Tous les trois ont été sauvés par Foster, un homme appartenant à une agence ultrasecrète appelée  Time Riders, d’où le nom de cette série.

Ils arrivent en 2001, à New York, dans une petite arche sous le pont Williamsburg, près de Time Square et des Tours jumelles du Word Trate Center. L’ Arche se situe dans une sorte de boucle temporelle : ceux qui se trouvent à l’intérieur revivent indéfiniment les deux mêmes jours : le Lundi 10 Septembre 2001 et le Mardi 11 Septembre 2001, jour de la chute des Tours jumelles dans de tragiques circonstances.

Les trois futurs agents se retrouvent donc dans l’Arche, où Foster les laissa se remettre de leurs émotions, puis il leur dit où ils se trouvaient. Une promenade dans New York arriva, puis un repas au McDonald du coin fut le bienvenu. Foster expliqua ensuite l’histoire de l’ Agence aux trois agents :

Le chef de l’Agence, un certain Roal Waldstein, a, un jour, inventé la première machine à voyager dans le temps. Il a organisé son premier voyage devant une petite communauté de journalistes. Evidemment, lorsque Waldstein a activé la machine, personne ne pouvait savoir où il allait. En revanche, lorsqu’il est revenu, il était horrifié par ce qu’il avait vu.

Personne ne l’a cru lorsqu’il a affirmé « avoir vu l’enfer de ses propres yeux ». Depuis, il a mené une campagne contre les voyages dans le temps, technologie qu’il jugeait bien trop dangereuse. Pourtant il se doutait bien qu’après cela, les autres grandes nations allaient continuer en secret à travailler sur cette technologie. Roald Waldstein vivait en 2069. L’Agence demeure en 2001. Donc après avoir interdit les voyages dans le temps, Waldstein créa cette dernière afin d’empêcher quiconque souhaiterait modifier l’Histoire en se servant des voyages temporels. Foster expliqua aux jeunes gens que c’était principalement pour cela que Roald Waldstein avait interdit les voyages dans le temps : afin de préserver l’Histoire. Car comme il le disait : « c’est en modifiant un peu le passé que l’on altère complètement le présent ».

Et pourtant, tout le monde se doutait que, quelque part, les grandes nations tentaient secrètement et tant bien que mal de travaillez sur les machines à voyager dans le temps, et que ces dernières, mais aussi d’autres personnes indépendantes avec beaucoup de moyens, étaient très nombreuses. Foster leur expliqua également quel était leur rôle, à tout les quatre, dans cette histoire : il leur donna chacun un rôle : Sal serait l’observatrice, qui détecterait les ondes temporelles, Maddy l’informaticienne, qui rechercherait sur Internet l’origine du problème, et Liam, avec Bob l’auxiliaire de mission, serait l’opérateur de mission afin de corriger la contamination temporelle. Mais éclairons les quelques points obscurs de ce sujet :

les ondes temporelles sont comme des tsunamis qui transformeraient la réalité. Mais si Foster et les autres en sont épargnés, c’est parce que leur Base bénéficie d’un champ de protection contre les ondes temporelles et la réalité corrompue invisible. Tandis que les gens au-dehors sont tout bonnement  » avalés  » par ces ondes, d’autres personnes les remplacent, mais elles sont justement en train de vivre cette réalité, donc pour eux aucun changement ne s’est produit à ce moment-là.