Ne fut-elle que diversion ? Ne sera-t-elle que poison ?
Comment, d’un parfum aux couleurs semblables
A celles de la vanille ou d’une écorce d’érable
Peut-elle nous envahir à chaque nouvelle saison ?
D’une branche coupée elle contemple le cœur
Se nourrissant en son for intérieur
D’un espoir brisé d’où renaît cette fleur
Douce, lancinante et peinant encore
A germer ; telle l’ombre portée de la flore
Se dessinant au coin d’un soleil d’été
Mélancolie, ou nostalgie je l’ai nommée.
2017 © Anlouek – Tous droits réservés.
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c’est très beau!!…frais et léger…aussi frais qu’une goutte de rosée un matin d’été; et léger comme les pétales d’une rose qui s’envolent au vent…merci de ce partage mélancolique mais ensoleillé . bravo!
Merci maman ! 😉